En savoir plus à propos de plantes artificielles
Cultiver son jardin, associer des plantations, admirer les fleurs, récolter et déguster ses légumes… engouement du jardinier qui, pour la première fois, se lance dans cette belle expédition doit être un peu canalisé. Les conseils de notre spécialiste afin d’éviter certaines erreurs récurrentes chez les « apprentis ». Les végétaux de moyenne rusticité ( mimosa, camélia, agapanthe, anisodontea, azara… ) sont réservés aux espaces vert de bord de mer et du midi. Ailleurs, surtout en climat continental, n’adoptez que des plantations très rustiques ( lilas, iris des jardins, pivoine, glycine… ). Les températures sont souvent différentes, dans un même département, en fonction de les zones. Le long du littoral, il peut y avoir jusque entre 5 et 8° de différence, pendant l’hiver, entre une ville côtière et une ville à 50 km dans les terres. Le vent, l’humidité, les pluies plus ou moins fréquentes, tout influence sur les végétaux. La haie, écrin du jardin, est la priorité ! Imaginez-la diverse, attractive, voire même gourmande, autant pour vous que pour les oiseaux et les papillons. Dans un premier temps, choisissez des crudités faciles à vivre ( hémérocalle, géranium vivace, chèvrefeuille, groseillier… ) : les petites raretés ( arisaema, cypripedium, bletilla… ), c’est pour plus tard ! Si réelement vous tenez à une plante bijou, cultivez-la en pot.
Le terreau, la terre et le substrat ont pour rôle de remplacer le sol originel de culture du végétal que vous désirez installer dans votre espace de vie, au jardin, au balcon ou à la grande terrasse. Dans les besoins vitaux de la plante, le sol permet d’ancrer son système racinaire, ce qui va tout simplement lui permettre d’aller chercher l’eau et les nutriments indispensables à son développement, à sa survie. Si les trois à propos déterminent une base sur laquelle les végétaux peuvent se accroitre, leur matière est bien différente. Le substrat est plutôt constitué de sédiments, de vase, de roches et de granulés de sable. Pour les besoins de certaines cultures, il peut être utilisé seul mais peut aussi servir de base ou de complément à une autre couche. La terre est en fait de la terre végétale, à 100% faite d’éléments d’origine naturelle. Le terreau, lui, est constitué de terre végétale naturelle enrichie de végétaux d’origine naturelle en décomposition. Vous désirez installer ou rempoter votre végétal préféré…. Mais faut-il un terreau ‘plantation’ ou ‘rempotage’ ? La question se pose, évidemment… Mais rappelez-vous que certaines fleurs ont des besoins particuliers. Alors s’il existe des terreaux essentiellement travaillés pour une variété de plante, préférez leurs fonctions en priorité. Le substrat est complétement adapté à la plante et celle ci sera dans les meilleures conditions pour se développer de façon saine.
Selon une étude publiée par l’Université d’Oxford, le jardinage emplifierait la confiance en soi et l’amour-propre. En comparant pendant une semaine un groupe de jardiniers à un groupe de non-jardiniers, l’étude a divulguer que les amateurs de jardinage avaient une estime d’eux-même nettement meilleure que ceux n’ayant pas la main verte. Selon les chercheurs, “le jardinage peut jouer clé dans le développement du confort et de la confiance en soi”. Jardiner donne de l’énergie, de la vitalité et aide au coup de coeur. L’Université de Bristol a révélé que les bactéries présentes dans la terre ont un taux élevé de sérotonine, neurotransmetteur qui bataille contre l’anxiété et la dépression. Il serait d’ailleurs plus présent que dans les anti-dépresseurs. La terre de votre potager contribue alors à améliorer le coup de coeur que l’on sent de jardiner. la réduction des dépenses liés à l’alimentation est une raison évidente de jardiner. À une époque où les contaminations d’origine alimentaire sont nombreuses et où les organismes génétiquement modifiés et les pesticides abondent, il est réconfortant de savoir exactement comment nos aliments furent produits. Vous réguler ce qui se retrouve dans votre sol et pouvez choisir de l’amender, par exemple, avec du compost bio.
Du premier point découle ce second. Est-il bien raisonnable d’acquérir et de planter en période de fort givre ou, pire, juste avant la canicule ? Êtes-vous sûr, alors, de pouvoir prodiguer à votre nouvelle acquisition les soins nécessaires et notamment les arrosages obligatoires à sa bonne reprise. En règle générale, prennez des fleurs plutôt plus petites qui s’installeront avec une plus grande facilité et, bien souvent, rattraperont en croissance les crudités plantés en plus gros sujets. Ceci est d’autant plus tangible pour les plantations de haies, si dispendieuses. dès lors que les plantes assimilées, ne les délaissez pas dans un coin, surtout s’il s’agit de petits godets. Installez-les à se voit au plus vite. faute de quoi vous risquez de les voir dépérir, se dessécher ou du moins s’étioler. D’un autre côté, ne plantez pas pour autant à la va-vite. Considérez votre achat comme un investissement en l’avenir et soignez-le ainsi que les arrosages jusqu’à complète reprise. Le sol mérite toute votre attention. Ce matériau à première vue inerte est bien dynamique et mérite respect, tout comme vos fleurs. Maintenez-le propre et bien aéré. Evitez de le aplanir en le piétinant. Employez les paillis de couverture pour les protéger du froid comme de la chaleur.
Nous savons tous que pour pousser, les plantations ont besoin de nutriments. Elles les puisent le plus souvent en terre. Mais vous avez aussi la possibilité de le leur fournir. L’un des composants les plus importants à cet effet est le terreau. Pour éviter tout risque, il faut choisir le terreau qui correspond le mieux à l’espèce de la plante. Il doit être conforme au bocal, au potager et à la terre utilisée pour recueillir la plante. Que vos fleurs soient en pleine terre ou sur des étagères solidement fixées avec des tirefonds de bonne qualité, le terreau est un nécessaire pour une parfaite croissance. Le pire qui puisse arriver en jardinerie est de planter ses fleurs trop tôt ou trop tard. Renseignez-vous donc sur les dernières dates de gel inscrites dans votre zone. C’est une précaution à prendre pour ne pas tuer involontairement vos plantes. Il est aussi crucial de savoir le délai de gel pour gagner les plantations au bon moment ou leur offrir une meilleure protection. Le but est d’éviter qu’à la fin de l’automne la basse température n’endommage les plantes. Un bon jardinier entretient fréquemment ses fleurs. Elles sont comme des enfants qui doivent être chouchoutés. Votre mission est de les arroser comme il le faut, de les tailler au moment venu, et de les entretenir de la sécheresse. Car la lumière joue un rôle important dans le processus de la photosynthèse, mais elle peut sans problème mettre en péril la plante lorsqu’elle est trop exposée au soleil. il faut aussi maintenir perdre la plante des mauvaises herbes et retirer les feuilles fanées.
Avant toute chose, il est important de savoir quand commencer votre potager. Été ? Hiver ? Quel est l’occasion ? Selon moi, la meilleure période pour revêtir sa habillement de jardinier est… ( roulement de tambours ) l’automne ! L’automne est l’une de mes saisons préférées. Les températures se radoucissent, les arbres bouleversent de couleur, le temps s’avère se freiner. Les feuilles tombent. Les raclettes se préparent. Et la terre de votre potager n’attend plus que vous pour une nouvelle aventure ! Vous ne le saviez peut-être pas, mais c’est pendant la période automnale qu’il faut préparer le sol. Lorsque j’écris « préparer », je veux dire : amender, enrichir, prévoir. Certaines personnes vous épaulent de démarrer votre potager au printemps. À première vue, rien de plus logique : c’est à cette période que l’on plante et sème ses premiers légumes. Mais comme un gâteau ne peut se cuisiner sans ingrédients, des légumes ne peuvent pousser sans une bonne terre. Et la recette magique d’une « bonne terre » n’a rien de difficile. Amendement, fertilisation, délimitation, organisation… À démarrer dès les mois d’octobre/novembre ! Nous voici dès à présent arrivés à la seconde phase de la conception de votre potager : le lieu. C’est au cœur de votre jardin que se cache l’endroit idéal. Un coin tranquille où installer votre petit cocon extérieur. Tranquille ? Oui… mais pas que ! Pour voir grandir vos légumes à vue d’œil, vous aurez besoin d’une bonne proximité. Chaleur et lumière sont les meilleurs compagnons de vos plantations chéries. Ainsi, le lieu de votre futur potager se doit d’être le plus ensoleillé possible. le plus simple ? Plein Sud !
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